funerailles

Comment réussir à bien organiser des funérailles ?

Pour dire adieu à un proche disparu, il faut lui organiser des funérailles mémorables. Lorsqu’on prépare des funérailles, il faut penser : aux plusieurs démarches administratives, au transport du défunt, à la mise en bière, à la cérémonie et au type d’obsèques. Zoom sur les préparatifs d’une cérémonie funéraire.

Les formalités administratives

Faire face à la perte d’un être cher est une épreuve douloureuse. On n’a pas la tête à s’occuper des procédures administratives dans des moments pareils. D’où la nécessité de faire appel à une entreprise de services funéraires en mesure d’accomplir l’ensemble de ces formalités. Les pompes funèbres peuvent se charger de la demande d’autorisations légales pour la tenue des funérailles :

  • la déclaration à la mairie
  • les démarches auprès du cimetière ou du crématorium
  • etc.

Ils sont aussi capables d’organiser les obsèques dans les moindres détails. Cela inclut : le choix du cercueil et/ou de l’urne, le marbrier, le transport du défunt. Vous pouvez en plus leur confier la publication d’un avis de décès dans la presse locale ainsi que l’envoi des faire-part. Les pompes funèbres ont même la possibilité d’assurer la communication avec les intervenants à la cérémonie : la police, l’officier d’état civil ou religieux…

Le transport du corps

Les trajets à faire se font entre le lieu du décès et celui de la dernière demeure du cadavre ou de la dispersion des cendres. Le transport du corps du lieu de décès vers le lieu de veillée s’appelle communément le « transport à visage découvert ». Il doit se faire 48 heures après le décès. Cette mission appartient à une entreprise funéraire qui transporte le corps à bord d’un véhicule équipé d’un caisson réfrigérant.

Une fois la mise en bière terminée et le cercueil fermé, le corps du défunt est déplacé au lieu du culte s’il y en a un, ou encore au cimetière ou au crématorium. Les pompes funèbres transportent le cercueil fermé dans un corbillard et peut mettre à disposition des porteurs. Les prestataires les plus expérimentés peuvent même organiser le rapatriement ou le déplacement du défunt à l’étranger.

La mise en bière et la cérémonie

La mise en bière signifie le dépôt du corps dans son cercueil. Elle peut se produire à différents endroits :

  • au lieu du décès
  • à domicile
  • à l’hôpital
  • dans une chambre funéraire

Les proches du défunt peuvent se recueillir une dernière fois près du corps du défunt après la mise en bière et aussi avant la fermeture du cercueil. Cette dernière doit être faite en présence d’un officier de police. Après la fermeture définitive du cercueil, les porteurs procèdent à la levée du corps pour le déposer dans le corbillard et l’emmener au lieu de cérémonie. La cérémonie funéraire peut être : laïque, musulmane, catholique, protestante ou juive.

L’enterrement ou l’incinération

Étape ultime des obsèques : la crémation ou l’inhumation du cercueil contenant le corps du défunt. Les croyants tels les chrétiens et les musulmans ont l’habitude d’enterrer leurs morts. La mise en terre peut se faire dans une fosse avec une pierre tombale.

Sinon, l’inhumation est effectuée dans un caveau familial où plusieurs cercueils des personnes décédées issues d’une même famille sont placés. La crémation est une pratique qui se répand rapidement à cause du coût plus abordable et de l’espace de plus en plus saturé dans les cimetières. La crémation ou incinération consiste à réduire le corps en cendre en le brûlant. Par ailleurs, cette opération doit obligatoirement être exécutée dans un crématorium. Ensuite, les cendres sont conservables dans un columbarium, dans une tombe/un caveau/une caverne, ou dans une urne scellée sur une tombe ou à la maison. On peut également les disperser en pleine nature.

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